Nous sommes le 23 avril...
... Et en bonne logique, demain nous serons le 24, le J-0, et date de départ de cette aventure qui est l'ONI.
A demain, mes chers!
Comme avec mes problèmes de connexion je n'ai pas pu écrire tout ce que j'aurais voulu, je vais toucher maintenant plusieurs sujets, à risque de me répéter comme un vulgaire oignon. D'abord, les candidats: désolé, c'est inexcusable la manque de respect pour nos confrères/consoeurs en n'écrivant point une profession de foi. Ce n'est pas des élections pour l'association de voisins, ça! L'autre extreme a été deux candidates qui ont mis son numéro de portable pour être joignables. Bravo pour elles!
On parle aussi de l'organisation des élections? La première pour apprendre, donc j'espère que les suivantes vont se dérouler beaucoup mieux.
Oui, je critique! Et j'ai de craintes aussi: je crains les opposants, qui pour le fait de s'opposer (tout à fait légitime) peuvent torpiller toute initiative de l'ONI, même s'ils y sont d'accord, mais que comme c'est l'ONI qui le fait, allez, on va contre tout. Un peu comme le parti de l'opposition en Espagne, la dernière législature. Je crains quelques uns des candidats, voire des élus: il y en a qui souffrent d'une ambition politique pathologique, et qui d'abord sont eux, après eux, et pour en finir, eux et ses intèrêts personnels. Et comme il se peut que je sois élu, je crains aussi tout le boulot à faire; mais cela est de ma faute, pour me présenter candidat, pour vouloir y être (lol), donc je ne me plains pas.
L'autre jour ce blog m'a donné une très agréable surprise: les commentaires qui m'a laissé Cedr1c, avec qui j'avais pas mal discuté sur un forum infirmier. Discuté et, parfois, disputé, car on est en desaccord sur plusieurs choses. Je vous propose de lire ces commentaires et réagir, si cela vous dit. En gros, je suis assez d'accord avec ce qu'il dit. En tout cas... si ce blog continue à exister, rien pourra empêcher ma liberté de pensée et, bien entendu, de parole.
Ces premières deux années d'ONI seront fondamentales. Il va falloir laisser de côté les grandes paroles, ces mots qui nous remplissent la bouche de temps en temps, pour se mettre tout de suite au boulot, d'une façon claire et transparénte, que tous les IDE sachent qu'est ce qui se cuisine dans les Conseils, et prendre leur avis en compte. C'est à dire, un travail de communication profond.
C'est suffisant pour aujourd'hui. Demain midi on aura les noms des élu(e)s; après ma nuit de boulot, je serai en train de dormir. A mon réveil, je verrai si j'y suis ou pas, et je serai prêt à féliciter les candidat(e)s que je connais qui seront au Conseil.
A demain, mes chers!